Après ces quelques travaux et du nettoyage ( beaucoup de nettoyage ), c'est le jour des réjouissances : le déménagement. Ma belle avait déjà fait une grande partie de la mise en cartons des trucs bizarres qu'on accumule sans trop savoir pourquoi et en compagnie d'une section d'assaut des plus hétéroclite nous avons tout bourré dans des voitures et un fourgon qui était presque aussi vieux que moi mais qui à tenu sa place honorablement. C'était un peu le royaume de "débrouille toi parce que t'as pas une tune", fourgon du beau père du pote, diable de compétition emprunté au patron d'un autre pote, cartons récupérés au boulot (de toute façon il m'ont viré depuis ), de la bière, de la ficelle, des tendeurs et de l'immagination avec une dose de bonne humeur.
Nous avons eu le droit à un peu de neige, comme c'est émouvant, heu... non, comme c'est froid.
Un énorme merci à toutes les braves âmes qui en plus de nous aider, nous ont supporté.
Et le soir repas avec les parkas sur une porte posé sur des trétaux en essayant de faire du feu avec du bois pas sec.
Tout va bien, on a rien oublié, les deux greffiers, le clébard, la femme, merde !!! les gamines.
Vous trouvez pas qu'il à l'air un peu crispé, ou alors l'air con tout simplement.